Nées de la culture amérindienne, les attrape-rêve nous apprennent à maîtriser les bons et les mauvais rêves. Les beaux rêves traversent l'attrape-rêve et les mauvais qui ne connaissent pas le chemin s'emmêlent dans la toile et périssent aux premières leurs de l'aube.

  Dans l'origine des attrape-rêve, les esprits étaient representés par des araignées. Les araignées étant les tisseuses d'attrape-rêve, elles tissait leur toile pour protéger des mauvais esprits et des mauvaises energies durant la nuit. Les mauvais rêves s'emmêlent dans la toile et ne laisse passer que les bon au travers du trou se trouvant au centre pour les laisser glisser le long des plumes et atteindre leur propriétaire endormis. Leur tissage permettait aussi de cueillir les premier rayons du soleil, faisant disparaître mauvais rêves et mauvaises énergies, pour apporter paix et sérénité pour le reste de la journée. 

Bleu:

 Le bleu symbolise le rêve, la fluidité, la sérénité, la loyauté, l'eau, le ciel, le bien-être, la connaissance, la tranquilité, la sécurité et la confiance. 

Rond:

  L'attrape-rêve à son origine est de forme ronde et représente un cercle. Ce cercle représente le cycle de la vie. Cela comprend tout les éléments autour de la vie humaine comme la terre, les planètes, la lune, l'eau, le feu, le cycle du jour et de la nuit, mais aussi les variations de saisons, ainsi que le soleil qui apporte forces positives. 

Les plumes sont symboles de légèreté, de douceur, mais aussi de l'air: l'un des premier fondement de la culture amérindienne. Elles représentent la vie. Elles ont été choisi car elles permettent aux rêves de glisser jusqu'au propriétaire de l'attrape-rêve.

  Les perles et les plumes sont ainsi destinés à collecter les rêves qui ont traversés les trou du tissage, c'est à dire les énergies positives qui ont été laissé passer. 

 Elles permettent également de créer un lien entre les Hommes et le grand Esprit protecteur. De ce fait, les plumes sont synonyme de protections. Les chaman les portaient sur eux pour attirée leur energie. Elles sont lié au sacré et sont utilisées pour disperser les énergies négatives. 

  Les amérindiens leur attribuaient une propriété médicinale et les utilisaient souvant pour leur rituel, notament de guérison. 

 Chaque plume a sa signification de par sa couleur ou de l'oiseau dont elle provient. 

  Le coq est un symbole solaire universel. Il est synonyme de renaissance, courage, bonté et confiance. Il symbolise la victoire du bien sur le mal et le passage de la nuit au jour. C'est le passage des ténèbres à la lumière. 

  La plume de coq symbolise la victoire, la vigilance, l'éloquence et et la fécondité. Elle eloigne également les mauvaises influences de le nuit et peut être utilisé pour chasser démons et fantômes.  

 Plume noire:

 La plume noire est synonyme de protection et de resurrection. Elle symbolise la liberation, la fin de la souffrance, aide au deuil et repousse les énergies négatives. Elle apporte sagesse mystique, sérénité, transcende la peine et la perte. 

  Les chamanes utilisent les plumes noires dans leur rituel de mort et de renaissance du grand esprit. Ils l'utilisent aussi pour leur rituel d'initiation spirituelle. 

Plume bleu:

 La plume bleue est synonyme d'éveil et de protection. Elle apporte santé, méditation et sérénité. 

  Les chamanes utilisent les plumes bleues dans les négociations pour améliorer ou fluidifier la communication et apporter la paix. Elle permet également une bonne connection avec les esprits et permet de développer les dons psychiques. 

Plume jaune:

La plume jaune est synonyme de gaieté et d'intelligence. Elle symbolise puissance et sagesse et apporte joie, prospérité et abondance. 

  Les chamanes utilisent les plumes jaunes dans les rituels lié au soleil. 

  La plume jaune est lié au 3eme chakra, le chakra du plexus solaire. 

  L'araignée est symbole de persévérance, de courage et de créativité. Elle est patiente, déterminée, et libre de suivre ses propres choix.

  Dans les croyances amérindiennes, l'araignée a fait naître l'attrape-rêve, étant la première tisseuse de leurs toiles, qu'elle confectionnait pour emprisonner les cauchemars des enfants et pouvoir ainsi leu assurer un someil paisible.